Le fait d’isoler un habitat, ce n’est pas uniquement d’éviter les réductions de chaleur en hiver, c’est également conserver la fraîcheur dans son habitation en été. Il y a alors l’isolation des combles perdus, qui est un service adopté pour réduire le coût de consommation d’énergie. C’est la première étape d’une démarche de travaux d’isolation, elle va rendre votre maison plus convenable et vous mettra à l’aise.

D’où viennent les combles perdus ?

Les combles perdus se manifestent par plusieurs signes, ils peuvent donc vous alerter sur l’état de votre isolation. D’ailleurs, ils proviennent souvent par :
 Le tassement des laines minérales ;
 Un isolant mouillé d’une laine minérale, que ce soit une laine de roche ou de verre ;
 Le phénomène de vague, suite au mauvais emplacement d’isolation.
D’autre part, l’isolation des combles perdus permet d’économiser sur les factures de chauffage, et apporte un gain de confort.
Il faut alors viser une résistance thermique d’au moins 7 mètres carrés par Watt (7 m2/W), soit 30 centimètres (30cm) d’isolant traditionnel, pour isoler des combles perdus. Cependant, il faut privilégier une résistance thermique supérieure à10 mètres carrés par Watt (10m2/W) correspondant à 40 centimètres (40 cm) d’isolants.

Quelles méthodes adopter pour l’isolation des combles perdus ?

Il y a différentes méthodes pour isoler votre comble perdu.
 Au niveau du sol : il faut isoler auprès du volume chauffé en cas des combles perdus. Mais en cas de combles habités, vous pouvez isoler au niveau des rampants des toits.
 Il est aussi possible de faire une isolation des combles perdus en vrac, pour les combles difficiles d’accès. Cette méthode est rapide à mettre en œuvre et moins chère. Vous pouvez d’ailleurs louer une machine de soufflage si vous souhaitez le faire vous-même.
 Vous pouvez également faire une isolation des combles perdus en rouleaux, qui se fait en deux (2) couches. La première crée un pont thermique, car elle se pose entre les poutres ou solives, et la deuxième recouvre ces poutres pour la continuation de l’isolation.
 Choisir le pare-vapeur, qui se place du côté chauffé, constitue en outre une méthode efficace. Cela permet de limiter les risques de pression de vapeur d’eau dans l’isolant.

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